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Sujets de philosophie sur La vérité

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Exemples de sujets de dissertation de Philosophie sur la vérité

Voici 10 exemples de sujets de Philosophie sur la vérité avec quelques lignes d'explication sur les notions, les philosophes que l'on peut aborder, citer ou encore des idées sur la manière de composer sur le sujet. Le thème principal est la vérité.

Sujets de dissertation de Philosophie sur la vérité

Credit Photo : Freepik vectorjuice

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Sujet 1 - Est-il vrai que toutes les opinions dites se valent ?

On peut réaliser une première partie sur la vérité pour la définir puis dans une seconde partie, expliquer s'il existe une ou plusieurs vérités, ce qui pourrait répondre à la problématique. Ici, ajouter quelques citations de Montaigne ou de Kant serait intéressant.

Sujet 2 - Est-ce que les démonstrations scientifiques sont la vérité / les vérités ?

Cette question est intéressante, car on peut se demander si les expériences scientifiques vérifiées se rapprochent de la ou les vérités. Parce que les sciences sont des phénomènes difficiles à contredire, avoir des arguments contre ces démonstrations est quasiment impossible.

Sujet 3 - La vérité est-elle à craindre ?

Cette question est intéressante à poser, on ne sait pas quelle est la vérité puisqu'on ne sait pas toujours si elle est vraie, de même qu'il peut y en avoir plusieurs ou non. C'est pour cela qu'on peut la craindre, on peut la fuir parce que justement on peut être effrayé par la vérité tellement elle a un pouvoir grandiose. La Fontaine et Marx qui ont quelques citations intéressantes à ce sujet.

Sujet 4 - De quoi peut-on être certain ?

On peut ici faire une partie sur la vérité en s'aidant de ses connaissances, il peut citer plusieurs philosophes comme Descartes notamment qui a plusieurs citations pertinentes à propos de la vérité. Ensuite, il est difficile d'être certain de ce qu'on pense puisque : qui peut prétendre avoir la vérité ? C'est ce que l'on pourra tenter d'argumenter et d'expliquer dans la deuxième partie.

Sujet 5 - La vérité s'enseigne-t-elle ?

Cette question est intéressante, on peut ici faire une première partie sur la définition de ce que c'est la vérité pour nous puis une seconde pour tenter d'expliquer si la vérité peut s'enseigner, mais cela rejoint le sujet précédent puisque la même question se pose pour ce sujet : qui peut prétendre avoir la vérité ?

Sujet 6 - Quelle est la différence entre vérité et réalité ?

Il est intéressant de se poser cette question, on peut faire une première partie sur sa définition de la vérité, une seconde sur la réalité sur ce que signifie le réel pour lui. Dans la dernière partie, il peut confronter ces deux termes en apportant ses connaissances, en citant certains philosophes comme Frege ou encore Popper .

Sujet 7 - Pour Platon, qu'est-ce que la vérité ?

Platon, au cours de sa vie s'est beaucoup questionné à propos de la vérité. On peut d'abord présenter Platon , sa vie, sa profession, son époque, etc. Ensuite, on peut parler de sa vision des choses sur la vie, la réalité et surtout à propos de la vérité. On peut comparer la vision de la vérité de Platon avec celles de Kant et Descartes.

Sujet 8 - C'est quoi la vérité dans la Bible ?

Il est intéressant de se demander si les textes religieux notamment le Premier Testament disent vrai. La Bible dans son contenu a peu de vérités scientifiques et historiques. C'est pour cela qu'on peut se demander ce que c'est la vérité dans les textes religieux, on peut parler de Theissen qui a quelques citations sur les récits bibliques.

Sujet 9 - Qu'est-ce que la vérité formelle et qu'est ce qui la diffère de la vérité matérielle ?

Il existe deux types de vérité ; la formelle et la matérielle, la formelle représente les lois de la logique les raisonnements mathématiques tandis que la matérielle désigne plutôt la pensée. Elles sont donc intéressantes à confronter et comparer.

Sujet 10 - Pourquoi l'homme veut-il connaître la vérité ?

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Sujets de réflexions philosophiques : La vérité

mis à jour le 26/08/2008

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Cette ressource propose quelques sujets de réflexions et de dissertations philosophiques sur le thème de la vérité.

mots clés : philosophie , raison , réel , vérité

La vérité :

Textes  philosophiques associés :, cours et conférences en ligne, ressources associées :, information(s) pédagogique(s).

niveau : tous niveaux, Terminale

type pédagogique : sujet d'examen

public visé : non précisé, élève

contexte d'usage : non précisé

référence aux programmes : philosophie, raison, réel, vérité

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philosophie - Rectorat de l'Académie de Nantes

sujet dissertation philosophie sur la verite

  • Philosophie

Corrigé d’annales de bac – Philosophie ES 2018 – Dissertation

  • Damien De La Rocque
  • 19 Déc 2019

À lire dans cet article :

Parcoursup

Voici le corrigé des annales du bac de philosophie de 2018 donné en ES : Toute vérité est-elle définitive ? C’est un sujet compliqué. D’abord parce que la notion de vérité est très loin d’être évidente. Ensuite parce que le mot ” définitif ” nous laisse un peu désemparés.

Remarques sur le sujet des annales de bac de philosophie de 2018

  • Il faudra bien traiter le ” toutes ” : la négation du sujet est en effet ” Certaines vérités ne sont pas définitives “. Il s’agit de trouver lesquelles.
  • L’approche dite typologique sur ce sujet est ainsi incontournable. Dresser une typologie, c’est voir que le sujet se donne différemment pour différentes vérités : vérité religieuse, philosophique, scientifique…
  • Sur une question fermée comme celle-ci, il faut absolument faire simple en termes de plan : répondre d’abord par oui, puis par non, et enfin trouver une notion qui permette de sortir de l’opposition dialectique. Ici une question intéressante à se poser est celle de l’expression de la vérité.

Définir les termes du sujet

Voici les définitions à garder à l’esprit pour traiter le sujet des annales de bac de philosophie de 2018.

Au sens augustinien, veritas est adequatio intelectus et rei , la vérité est l’adéquation entre la réalité et l’intellect.

La vérité peut être démontrée de différentes manières :

  • Par l’expérience : on vérifie un énoncé par son efficacité dans le réel (par exemple un énoncé mathématique)
  • Par la logique : certains énoncés sont vrais a priori . Kant distingue en ce sens les jugements analytiques (qui sont des jugements liant la proposition 1 et la proposition 2 par un lien logique : de telle manière que la proposition 2 ” existe ” déjà dans la proposition 1) et les jugements synthétiques (la proposition 2 ” apporte ” quelque chose qui n’était pas contenu dans la proposition 1). Pour lui, ces deux types de jugements peuvent être vrais a priori, grâce à ce qu’il appelle les ” catégories ” de l’entendement humain, autrement dit, les structures logiques.
  • Par l’opinion : tout le monde croit la même chose, elle doit donc être vraie. Par exemple, tout le monde croit que nous ne vivons pas dans un rêve, cela doit être vrai.
  • Par la cohérence : ce qui est vrai est organisé. Deux propositions vraies ne peuvent ainsi pas être contradictoires.

On peut parler de vérité dans les champs suivants :

  • En histoire : par exemple la question de la vérité du génocide arménien a fait débat en France
  • En philosophie
  • En politique : un homme politique peut-il dire toute la vérité ? Tout le monde doit-il croire dans la même vérité pour vivre ensemble ?
  • En religion

Scellée. Autrement dit, non négociable, immuable, exprimée une fois pour toutes.

Le caractère définitif d’une vérité doit ainsi être fixé par quelqu’un, et il faut voir s’il est reconnu par tous.

Problématiser le sujet : “Toute vérité est-elle définitive ?”

Voici les grandes pistes pour problématiser le sujet des annales de philosophie de 2018.

Selon un premier point de vue, la vérité est Une et en tant que telle toujours définitive. Que l’on parle de la vérité comme ” réel du réel ” ou comme expression de ce réel, une fois que l’esprit l’a comprise, elle est définitivement entendue. Si elle n’est pas définitive ainsi, c’est qu’il ne s’agit pas vraiment d’une vérité. Selon un second point de vue, la vérité ne désigne pas le réel profond, mais le discours qu’on porte dessus, toujours faillible car dépendant du langage, et imparfait car portant sur un monde mouvant. L’esprit humain ne peut saisir en une formule ni même par l’intuition un monde toujours indéterminé, et la vérité désigne davantage une démarche, qui n’est jamais fermée, qu’une proposition que l’on peut considérer comme acquise.

Ma problématique porterait ainsi sur la tension entre la vérité comme ” réel du réel “, que le sage cherche à atteindre, et l’expression de cette vérité. La vérité, entre énoncé et objet de recherche, peut-elle trouver les moyens de s’exprimer de manière définitive ?

Plan possible pour le sujet d’annales de philosophie de 2018

I – Toute vérité assurée est aussi définitive.

II – Toutes les vérités ne peuvent être fixées définitivement ; la vérité est davantage une quête d’elle-même.

III – La vérité peut toujours être exprimée comme mystère et chemin, et fixée donc de manière définitive et atemporelle, mais qui nécessite que le sujet se l’approprie.

Plan détaillé du sujet : “Toute vérité est-elle définitive ?”

La première partie de la correction des annales de philosophie de 2018

a) La vérité est d’abord immuable et donc définitive.

Pour Platon la Vérité est dans le monde des Idées qui est un monde éternel portant les essences des objets que nous côtoyons ici-bas. Dans le mythe de la caverne (dans La République ) il explique comment l’homme peut, en se détournant de la caverne, c’est-à-dire du monde matériel où s’agitent des ombres, accéder au soleil des Idées. L’homme a alors une fois pour toutes été en contact avec la Vérité.

b) La vérité ne peut porter que sur le passé ou l’atemporel : ainsi tout énoncé de la vérité, s’il est effectivement vrai, est définitif.

C’est en ce sens que Hegel a dit que ” la chouette de Minerve prend son envol au crépuscule ” : le philosophe ne peut recueillir qu’une totalité en fin de vie, auparavant la vérité n’existe pas car l’histoire n’a pas mené son mouvement à terme. On peut alors bien, puisque les faits sont connus dans leur entièreté, établir leur vérité de manière définitive. Mais cela est également possible pour les vérités n’appartenant pas au temps : ainsi des vérités religieuses. Pour les musulmans par exemple, le Coran fixe la vérité en matière métaphysique de manière définitive. Il en va de même de vérités scientifiques comme les grands énoncés mathématiques par exemple.

c) Toute vérité est définitive pour qui l’énonce.

Il est très important d’apporter ce questionnement à la réflexion : qui sanctionne le caractère définitif d’une vérité ? Certaines vérités sont des vérités au sens subjectif, et non pas des vérités absolues ; Jean-Paul II dans Splendeur de la vérité affirmait ainsi qu’on peut être authentiquement et honnêtement dans l’erreur. Dès lors, le sujet peut parfaitement affirmer comme vérité ce qui n’est en réalité que véracité (vérité subjective) ; et quand il le fait il engage son affectivité dans son propos. La vérité est en ce cas définitive pour lui, même si elle ne l’est pas universellement.

La deuxième partie de la correction des annales de philosophie de 2018.

a) La vérité est davantage une démarche, que l’on ne peut fermer en disant qu’elle est définitive, au risque de la mettre en danger

Comme disait Nietzsche, ” la vérité avance à pas de colombe ” ; la vérité est avant tout un élan vers la vérité, plutôt qu’un contenu fossilisé. Karl Popper, dans La logique de la découverte scientifique (1934), va encore plus loin : il parle pour un énoncé scientifique de ” critère de falsifiabilité ” ; en sciences, une proposition n’est vraie que si elle est potentiellement falsifiable, c’est-à-dire qu’elle est vraie dans la mesure où elle n’a pas encore été remise en question.

b) Dans certains champs de la pensée on ne peut pas établir de vérité définitive

En sciences, des vérités peuvent être établies de manière définitive : si comme le disait Fontenelle le monde est en plus grand ce qu’une montre est en petit, des lois existent qui le régissent et ces lois sont connaissables. En philosophie en revanche, il est difficile d’établir des vérités ; toute vérité est dépendante d’un point de vue plus général sur le monde. En histoire, de même : la mémoire a tendance à voir les choses d’après le prisme des enjeux du présent ; établir une vérité de manière définitive met une barrière à une archéologie du passé toujours insatisfaite d’elle-même qui est l’horizon de la science historique.

c) En réalité le concept même de vérité est une erreur au vu de la nature mouvante du monde ; celui-ci n’étant jamais définitif, il ne peut y avoir d’autre vérité définitive que son éternel mouvement

C’est en tout cas ce que dit Nietzsche au long de son œuvre : tout est toujours en perpétuel devenir, et il est ainsi ridicule de vouloir essentialiser le monde. Vouloir fixer des vérités définitives, c’est se chercher, dans son vocabulaire, un ” arrière-monde ” pour fuir l’angoisse de l’éternel possible.

La troisième partie des annales de philosophie de 2018.

a) Des vérités philosophiques, historiques, scientifiques, artistiques, peuvent être exprimées dans le langage, sous réserve de sa purification

C’est toute l’ambition du courant de la philosophie analytique, mené en France par Jules Vuillemin, et dont un des plus éminents représentants est Ludvig Wittgenstein. Dans leur esprit, des vérités peuvent bien être exprimées de manière définitive, mais il faut au préalable procéder à une purification du langage, en évinçant par exemple tous les termes vides de sens, ou toutes les mauvaises connexions logiques. Toutes les vérités ne peuvent cependant être mises en mot : ” ce dont on ne peut parler, il faut le taire “, écrit Wittgenstein.

b) On peut exprimer la vérité par morceaux ; toute vérité ne peut être définitive, mais des fragments de la vérité peuvent prétendre à l’universalité

La Bruyère, dans ses Caractères, La Rochefoucauld, dans ses Maximes , ne veulent pas exprimer la Vérité toute entière, mais simplement des fragments de celle-ci, dans un style lacunaire qui ne délivre ainsi pas la vérité dans le contenu à proprement parler mais aussi dans le style de l’expression. C’est que la vérité n’est pas seulement rationnelle, elle est aussi, comme l’ensemble de l’expérience humaine, parée de mystère, et l’intuition indicible s’approche parfois davantage de la vérité qu’un enchaînement rigoureux de formules mathématiques.

c) On peut enfin exprimer la vérité de manière définitive par d’autres moyens que le langage

La musique est un moyen d’exprimer une vérité de manière définitive : Vladimir Jankélévitch a ainsi écrit que la musique de Fauré permettait de comprendre l’idée de la mort. La poésie exprime aussi des vérités : le haïku japonais exprime ainsi le mujo , l’impermanence du monde… Vérité des vérités, puisqu’elle empêche l’existence de toutes les autres.

Conclure le devoir

Voici un exemple de conclusion rédigée pour le corrigé des annales de philosophie de 2018.

En conclusion, toute vérité n’est pas définitive car la plupart sont toujours insuffisamment formulées. L’intellect humain, limité, ne peut jamais contenir en lui le réel. La vérité doit ainsi se donner comme un chemin, toujours à parcourir.

N’hésitez pas à consulter d’autres dissertations des annales de philosophie corrigées , ou le commentaire de texte corrigé des annales de philosophie de 2018.

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sujet dissertation philosophie sur la verite

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Au programme : le scepticisme, le doute radical de Descartes et l'expérience du cogito...

Sujet possible : Peut-on atteindre une vérité certaine ?

Il semble que nous formulions fréquemment des vérités incontestables : « il fait beau aujourd’hui », quand le soleil brille et qu’aucun nuage n’est visible à l’horizon ; « 3 X 3 = 9 » quand nous récitons nos tables de multiplication, ou encore quand nous nous bornons à constater un fait : « j’ai rencontré Jean hier », etc.

Pourtant, est-ce réellement le cas ? Pouvons-nous réellement formuler des jugements dont la vérité ne fait aucun doute ?

Le scepticisme est précisément une doctrine qui nie cela.

Le Scepticisme : la vérité est inatteignable

Cette doctrine repose sur l’idée que l’ensemble de nos idées et concepts sont faux. Il devient alors inutile de les utiliser, et par conséquent de penser.

Pyrrhon, le premier sceptique, résumait cela ainsi : Aucune chose n’est plus ceci que cela . Lorsqu’on comprend cela, on arrête de formuler des opinions sur les choses : c’est la fameuse suspension de jugement sceptique (épochè).

Etonnamment, on atteint alors une forme de bonheur : on devient impassible, serein, puisque ce qui nous trouble et nous rend malheureux, ce sont certains jugements. Si l’on juge que la mort est un mal par exemple, on est angoissé à l’idée de mourir. Mais si l’on ne fait plus aucun jugement, plus aucune cause de trouble ne vient nous affecter.

Pourquoi les sceptiques doutent-ils que l’on puisse atteindre une vérité certaine ?

Ils se basent sur un ensemble d’arguments appelés tropes sceptiques . Voici certains d’entre eux.

-le désaccord des sages : aucune vérité n’est admise comme certaine par l’ensemble des systèmes philosophiques. Aristote contredit Platon, le stoïcisme contredit l’épicurisme, et aucune idée ne fait l’objet d’un consensus.

-la relativité des moeurs : les peuples adoptent différentes règles de vie et aucune règle ne fait l’objet d’un consensus universel. Ce qui semble cruel et interdit dans un pays sera toléré, voire encouragé dans un autre. Une idée que Pascal (qui n’est pas un sceptique) résume des dizaines de siècles plus tard ainsi : Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà .

-les erreurs des sens : nos organes des sens n’ont pas exactement la même constitution donc chacun voit et entend différemment des autres. Surtout nos sens nous trompent : un bâton plongé dans l’eau paraît brisé, une tour carrée paraît ronde de loin, etc.

-l’inutilité de la démonstration : si l’on propose un argument pour fonder une idée, il faudra prouver cet argument par un autre argument, qui lui-même devra être prouvé, etc. On est donc confronté à une régression à l’infini, puisqu’il faudra toujours une démonstration pour fonder la démonstration antérieure, ce qui rend inutile toute argumentation.

Pyrrhon, le premier sceptique, menait une vie en accord avec ses principes. Il partait au hasard (puisque rien ne lui prouve qu’il vaut mieux être ici que là), marchait au-devant des précipices (puisque rien ne lui prouve que la mort est un mal), heureusement retenu par ses disciples.

Un jour il s’enfuit devant un chien, et moqué par ses disciples, répondit qu’ il est difficile de dépouiller l’homme de fond en comble (de ses jugements).

On le voit : les arguments sceptiques pour montrer qu’on ne peut atteindre une vérité certaine sont nombreux.

Néanmoins, n’est-il pas possible de trouver une vérité certaine, qui résiste aux arguments sceptiques ?

C’est là le pari que relève Descartes.

Le cogito comme vérité indubitable : Descartes

Descartes dans ses Méditations métaphysiques cherche une vérité certaine. Remettant en cause l’enseignement qu’il a reçu, il concède aux sceptiques que l’on peut remettre en question la plupart des idées considérées à tort comme certaines par le sens commun.

On ne peut par exemple se fier au témoignage des sens. Reprenant les exemples du bâton brisé et de la tour, il remarque qu’ il est de la prudence de ne se jamais fier entièrement à ceux qui nous ont une fois trompé .

Les vérités mathématiques sont-elles certaines ? Peut-on douter que 2+3=5 ou que deux droites parallèles ne se coupent jamais ?

Descartes fait observer que Dieu, dans sa toute-puissance, est en mesure de nous tromper sur ces points.

Ou plutôt, puisque Dieu dans son infinie bonté ne peut être suspect d’un tel comportement : on peut imaginer qu’un malin génie a assez de puissance pour nous faire croire à de telles idées, alors qu’elles sont fausses.

Il faut donc partir de la pire des hypothèses, celle selon laquelle un malin génie , un je ne sais quel trompeur très puissant et très rusé […] emploie toute son industrie à me tromper toujours , et voir si même ainsi, il existe une vérité qui peut résister et être considérée comme certaine.

C’est le cas. Si on part de l’idée sceptique que tout est douteux, alors il est certain que je doute (de tout). Si je doute, je pense. Si je pense, je suis. Ainsi que Descartes le résume dans le Discours de la méthode : Je pense donc je suis . C'est là la vérité certaine que nous cherchons, découverte au terme de l’expérience du cogito .

Dans les Méditations métaphysiques , Descartes la formule ainsi : Je suis, j’existe est nécessairement vraie toutes les fois que la prononce ou que je la conçois en mon esprit .

Quel est ce « Je » dont Descartes a prouvé l’existence ? Ce n’est pas une âme, ni un corps, (la signification de ces termes est douteuse), mais simplement une « chose qui pense ». Voici la seule chose certaine qu’on peut dire concernant la nature du sujet pensant.

Or de cette première vérité indubitable, Descartes va déduire d’autres vérités, concernant le monde, ou Dieu. Par exemple, il va déduire l’existence de Dieu de la présence en nous de l’idée de Dieu. J’ai en moi l’idée de Dieu, donc il existe car ce n’est pas moi, être fini qui ai pu créer cette idée d’un être infini (l’effet ne peut pas être supérieur à la cause).

On le voit donc : il existe des vérités certaines qui résistent au doute sceptique.

Néanmoins on peut se demander s’il existe des vérités absolues, et si toute vérité n’est pas relative .

La vérité relative : Protagoras

On a jusqu’à présent entendu par « vérité » des propositions universelles , valant pour tous les temps et tous les pays, de type : « la somme des angles d’un triangle est de 180° ». Ne peut-on imaginer plutôt que chacun a sa vérité, et que celle-ci n’est valable que pour celui qui l’énonce ?

C’est là l’idée de Protagoras : L’homme est la mesure de toute chose . Cela signifie que chacun porte en soi sa vérité, et il n’en est pas qui soit moins estimable que d’autres. Si l’on trouve qu’un tableau n’est pas beau, ce sera là pour nous une vérité. Si notre voisin trouve qu’il s’agit là d’une œuvre magnifique, ce sera pour lui une vérité : on ne peut hiérarchiser ces deux positions en montrant pourquoi l’une est meilleure que l’autre.

On peut généraliser cela à l’ensemble des idées que nous adoptons. Ainsi par exemple, les normes morales : si un peuple a décidé d’admettre le cannibalisme, on ne peut le condamner : ce sont là les normes qu’il a décidé d’adopter, et qui ne sont pas moins vraies que les normes judéo-chrétiennes qui interdisent le cannibalisme.

Voici comment Platon résume la pensée de Protagoras, dans le Théétète :

SOCRATE : « Il semble bien que ce que tu dis de la science n’est pas chose banale [152a] ; c’est ce qu’en disait Protagoras lui-même. Il la définissait comme toi, mais en termes différents. Il dit en effet, n’est-ce pas, que l’homme est la mesure de toutes choses, de l’existence de celles qui existent et de la non-existence de celles qui n’existent pas. Tu as lu cela, je suppose ? THÉÉTÈTE : Oui, et plus d’une fois. SOCRATE : Ne veut-il pas dire à peu près ceci, que telle une chose m’apparaît, telle elle est pour moi et que telle elle t’apparaît à toi, telle elle est aussi pour toi ? Car toi et moi, nous sommes des hommes. THÉÉTÈTE : C’est bien ce qu’il veut dire. SOCRATE : Il est à présumer qu’un homme sage ne parle pas en l’air. Suivons-le donc. N’arrive-t-il pas quelquefois qu’exposés au même vent, l’un de nous a froid, et l’autre, non ; celui-ci légèrement, celui-là violemment ? THÉÉTÈTE : C’est bien certain. SOCRATE : En ce cas, que dirons-nous qu’est le vent pris en lui-même, froid ou non froid ? ou bien en croirons-nous Protagoras et dirons-nous qu’il est froid pour celui qui a froid, et qu’il n’est pas froid pour celui qui n’a pas froid ? THÉÉTÈTE : Il semble bien que oui. SOCRATE : N’apparaît-il pas tel à l’un et à l’autre ? THÉÉTÈTE : Si »

On le voit : le relativisme déconstruit la notion de vérité, et on ne sait ce qu’il en reste, après une telle opération. Néanmoins, si l’on admet le concept de vérité relative, alors on atteint une forme de certitude : il est certain que pour moi, il fait froid, ou que le tableau n’est pas beau. Il suffit d’être à l’écoute de ce que je ressens pour atteindre une vérité certaine.

On voit qu’il existe des vérités certaines. Si l’on n’est pas convaincu par la vérité absolue telle que Descartes pense l’avoir mise au jour dans l’expérience du cogito, rien ne nous empêche de restreindre nos ambitions et d’admettre qu’il existe au moins, des vérités relatives certaines.

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La vérité en philosophie

En quel sens parlons nous de vérité , qu’est ce que dire vrai .

La vérité désigne le plus souvent la conformité des paroles dites ou des récits entendus avec ce que nous savons ou croyons savoir. ” la première signification de vrai et de faux semble avoir tiré son origine des récits ; et on a dit vrai un récit quand le fait narré était réellement arrivé ; faux quand le fait raconté n’est arrivé nulle part. Plus tard les philosophes ont employé ce mot pour désigner l’accord ou le non-accord d’une idée avec son objet ; ainsi, on appelle vraie celle qui montre une chose comme elle est en elle-même ; fausse celle qui montre une chose autrement qu’elle est en réalité”, remarque Spinoza dans ses Pensées métaphysiques . On dit “c’est vrai”, “c’est faux” à propos de paroles, de récits. Et l’obligation de dire la vérité est ce qui rend possible les rapports de confiance entre les hommes.

Une parole ne se contente pas d’être un constat véridique de ce qui est. Il peut peut aussi s’agir d’une promesse qui engage pour l’avenir. La vérité d’une parole est alors une exigence éthique : elle s’oppose au mensonge. C’est dans un sens dérivé qu’on peut la qualifier de “vraies” des idées, et il ne convient que par métaphore de parler de vérité à propos des choses ; ainsi “nous disons de l’or vrai ou de l’or faux, comme si l’or présenté racontait quelque chose sur lui-même”, poursuit Spinoza.

La vérité d’une idée signifie sa conformité avec la réalité. Mais qu’entend-on par réalité ?

Vérité et réalité

Dire qu’une chose est vrai signifie souvent qu’elle a eu lieu, que c’est un fait avéré. Mais doit-on concevoir la réalité seulement comme ce qui relève de l’expérience sensible ? La définition de la vérité dépend de la conception qu’on se fait de la réalité. Platon , considère que la réalité est le propre des Idées que seul l’esprit peut atteindre, et refuse d’accorder aux choses sensibles, changeantes et temporelles.

On peut distinguer deux types de vérités : les vérités de raison qui renvoient aux idées, objets de la pensée ; les vérités de fait qui peuvent faire l’objet d’une expérience sensible. Le soleil se lève tous les matins : c’est la réalité que l’on constate avant de pouvoir l’expliquer par la raison . Le carré de l’hypoténuse est égal à la somme des carrés des deux autres côtés : voilà une vérité que la raison doit démontrer. La vérité des faits et des idées se distingue encore de la vérité “sensible au cœur” ( Pascal ) dévoilée par Dieu au croyant.

Révélation et raison

L’opposition de la vérité révélée et de la vérité rationnelle est représentée dans deux fresques peintes par Raphaël au Vatican. D’un côté la vérité révélée apparaît comme une lumière divine, transcendante tombant du Ciel pour éclairer les hommes. La “splendeur de la vérité” qui illumine les hommes symbolise la foi chrétienne dont la doctrine s’expose dans les textes sacrés et dans les écrits des docteurs de l’Eglise.

Mais il existe aussi une vérité que l’on recherche à l’aide de la lumière naturelle. La fresque intitulée L’Ecole d’Athènes réunit philosophes et savants de l’Antiquité qui recherchent la vérité accessible par la raison humaine. La vérité mathématique qui s’expose dans les Eléments d’Euclide est son modèle. La philosophie propose deux approches de la vérité. Platon désigne le ciel, lieu des vérités immuables par opposition aux apparences sensibles, comme pour dire que la vérité ne réside pas en ce monde. Aristote au contraire montre la terre où diverses réalités s’offrent aux sens dont la raison ne doit pas s’éloigner afin de dégager la vérité par induction à partir de leur observation. De quelle manière peut donc se manifester la vérité  : la révélation ou la tradition ? la raison ou l’expérience ? Et est-il possible d’atteindre la vérité d’une seule manière ?

Comprendre « L'École d'Athènes » de Raphaël - Magazine Artsper

La difficile découverte de la vérité

Illusion et savoir.

Platon décrit avec l’ Allégorie de la caverne la difficile découverte de la vérité. La situation des prisonniers enchaînés dans la caverne, ne voyant que des ombres qu’ils prennent pour des réalités, symbolise leur illusion. Même si l’on suppose qu’on libère l’un de ces prisonniers de ses chaînes, la quête de la vérité s’avère pénible : il faut qu’il prenne conscience de son ignorance pour quitter son univers de croyances et qu’il ose s’aventurer seul. Car même si on le guide pour cette quête, la vérité ne se révèle qu’à un esprit prêt à le recevoir la vérité. En fait on ne la reçoit jamais, on la découvre soi-même par un effort de la pensée.

La vérité caractérise les essences immuables, les Idées. Elle existe indépendamment de l’esprit qui la découvre. L’acte par lequel la vérité est découverte est comparable à la vision. Mais le soleil qui éclaire peut aussi éblouir et aveugle : il faut donc qu’une pédagogie préparer l’esprit à recevoir la vérité.

La fausseté de l’apparence

L’allégorie de la caverne oppose les Idées vraies aux existences sensibles, qui ne sont que leurs images, bien moins réelles qu’elles. Mais pour Platon, la connaissance de la vraie beauté, du vrai bien, de la vraie justice, nous permet de reconnaître la beauté, le bien, le juste ou l’injuste de ce qui se présente.

Pour savoir, par exemple, si de l’or est vrai ou faux, il faut savoir distinguer l’or authentique du toc. Le vrai, dit Spinoza, “est l’indice même du faux”. Il y a de connaissance possible que par la vérité, et c’est elle seule qui nous permet de reconnaître rétrospectivement l’erreur de l’illusion : l’or ne peut être reconnu faux que par un connaisseur qui sait ce qu’est l’or véritable.

L'illusion d'une réalité vaut-elle la réalité ?" - fredericgrolleau.com

Y a-t-il un critère de la vérité ?

La cohérence logique.

C’est par l’usage de la raison dans le langage ( logos en grec signifie à la fois raison, langage et discours) que les hommes cherchent à atteindre une vérité. L’accès à la vérité. L’accès à la vérité se complique par la pluralité des discours sur l’être : l’être “se dit de manière multiple”, écrit Aristote .

La logique fournit un critère de la vérité d’un raisonnement : en examinant quelle doit être la forme d’un discours correct, on peut repérer la fausseté de certains discours pour les réfuter. Mais la cohérence formelle d’un discours n’est pas un critère suffisant de sa vérité. Un raisonnement qui ne se présente aucune contradiction est valide, mais il n’est que formellement vrai.

La conformité de la connaissance à son objet

Pour ne pas se contenter d’un critère formel, on définit la vérité comme l’adéquation de l’idée à la chose. La vérité définit une relation de représentation adéquate. Cependant, pour savoir qu’une représentation est vraie, il faudrait connaître l’objet représenté ; or on ne peut le connaître qu’à partir de l’idée que l’on en possède. Le vrai s’éprouve sans pouvoir se vérifier.

La science peut servir de modèle de la connaissance vraie. Mais la science peut-elle seule atteindre la vérité ? Ne doit-on pas “limiter le savoir pour laisser une place à la croyance”, comme l’affirme Kant dans la Critique de la raison pure ?

Evidence, subjectivité et objectivité

Une certitude peut être trompeuse : “certitude, mauvaise marque de vérité”, note Pascal. La certitude est subjective, elle peut porter sur une opinion fausse. Mais on peut toujours en douter. L’évidence d’une vérité n’est pas son caractère certain : il y a évidence, pour Descartes, quand une idée s’impose clairement et distinctement à l’esprit ; un esprit peut donc être certain, alors que c’est l’idée qui lui est évidente. face à l’évidence, l’esprit reçoit le vrai comme une vision : évidence vient du latin viderer , voir.

Pour Descartes , la première vérité se découvre quand la certitude de l’esprit rencontre l’évidence de l’idée, par la reconnaissance de l’existence du sujet pensant par lui-même. L’évidence est la manière dont une subjectivité consciente éprouve le vrai, tout en reconnaissant la valeur objective de sa représentation. Le Je pensant, découvert par Descartes à l’issu du doute, est la première vérité. C’est aussi la condition de toute vérité.

On peut reprocher à l’évidence de n’être qu’un critère subjectif de la vérité. L’objectivité permet à une vérité d’être reconnu universellement, la subjectivité rend possible la connaissance. Il y a une vérité objective que pour un sujet connaissant.

Pour Descartes, la vérité du savoir est garantie par un fondement métaphysique : Dieu, tout-puissant et non trompeur, créateur des vérités. Mais Kant refuse un fondement théologique de la vérité. Un savoir est ce qui peut être vérifié dans l’expérience. Sinon la vérité serait l’affirmation d’une croyance ou d’un dogme.

Cependant, Kant distingue le sujet transcendantal, forme universelle de la connaissance, de l’existence individuelle du penseur. La vérité subjective consiste en l’affirmation par une subjectivité de ce qui lui importe comme la certitude morale de la liberté. Une vérité subjective est un pari où la subjectivité s’engage avec passion.

170,620 Logique Imágenes y Fotos - 123RF

La définition de la vérité est embarrassante : réside-t-elle dans l’évidence de l’idée ? Dans la cohérence de la pensée ? Dans la conformité des discours à la réalité ? Dans la possibilité qu’une théorie soit vérifier par l’expérience ? Le scepticisme nie la possibilité d’atteindre la vérité. Le dogmatisme, à l’inverse, affirme une vérité de manière absolue. La vérité est un idéal qui ne peut être atteint qu’en se méfiant de nos certitudes subjectives, dont on doit douter. La garantie de la vérité a longtemps a longtemps reposé sur un postulat théologique, mais l’accès à un savoir vrai suppose qu’on cesse de croire. Toutefois, même si on considère que la recherche de la vérité ne relève que de la science, il faut admettre que c’est le sujet qui constitue la vérité objective.

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Toute vérité est-elle définitive ?

France métropolitaine 2018 • Dissertation de série ES

phiT_1806_07_03C

France métropolitaine • Juin 2018

dissertation • Série ES

Toute vérité est-elle définitive ?

Les clés du sujet

Définir les termes du sujet

« Toute » est ici un adjectif qui signifie « sans exception ». Il donne à notre sujet une extension maximale. Il ne s'agit pas d'une vérité ou de la vérité mais de la totalité de ce qui est appelé vérité.

On entend généralement par vérité l'accord de l'idée avec la chose qu'elle représente. La vérité n'est donc pas identique au réel, elle suppose une relation entre l'esprit et ce qu'il définit.

Est-elle définitive

« Définitif » a pour synonymes « déterminé », « irrémédiable » ou « irrévocable ». Est définitif ce qui est fixé de façon telle qu'il n'y ait plus à y revenir. On voit ainsi que ce terme implique une relation au temps qui s'avère être complexe. Une vérité définitive demande peut-être du temps pour être découverte, mais elle est intemporelle au sens où le cours des événements ne saurait la modifier.

Dégager la problématique et construire le plan

La problématique.

La problématique apparaît dans la relation de la vérité au temps. Le sujet parle de « toute » vérité, ce qui nous incite à distinguer des genres de vérité. Cependant, l'adjectif « toute » désigne aussi les caractéristiques essentielles de tout ce qui se présente comme une vérité. Est définitif ce qui ne peut être modifié et qui donc échappe au temps. Or, si toute vérité est un accord avec le réel, il est manifeste que celui-ci est changeant. Faut-il alors distinguer des vérités immuables et temporaires ? Dans ce dernier cas, s'agit-il encore de « vérités » ?

Dans un premier temps, on marque la différence entre vérité et opinion pour mettre en lumière l'importance de la relation de la vérité au temps.

Une deuxième étape sera consacrée à la différence entre les vérités de raison et les vérités de fait.

La troisième partie réfléchira à la vérité scientifique et au rôle de la subjectivité dans ce domaine.

Éviter les erreurs

Il ne faut pas réduire le sujet à une dissertation générale sur la vérité en ignorant le rapport au temps.

Les titres en couleurs et les indications entre crochets servent à guider la ­lecture mais ne doivent pas figurer sur la copie.

Introduction

La vérité n'est pas la réalité mais la propriété d'un jugement. Les faits ne sont en eux-mêmes ni vrais ni faux. C'est ce que l'on affirme ou nie à leur sujet qui peut l'être. Nous avons coutume d'associer à toute vérité l'idée d'objectivité pour l'opposer à l'opinion. Celle-ci est tenue pour changeante et donc jamais définitive, à l'inverse de la vérité qui paraît immuable. N'est-il pas toutefois possible d'envisager que certaines vérités ne soient pas irrévocables ? Le réel évolue, les jugements portés à son sujet sont donc susceptibles de ne plus être vrais. Mais dans ce cas, peut-on encore parler de vérité ? Il importe de clarifier le sens du mot vérité et de saisir ses relations avec la temporalité de notre condition pour répondre à la question posée : toute vérité est-elle définitive ?

1. L'opinion et la démonstration

A. la pensée d'opinion.

Il est souvent utile de définir une notion en l'opposant à une autre qui lui est proche.

Au livre V de La République , Platon définit l'opinion comme une pensée instable car dénuée de fondement rationnel. L'opinion « roule », « flotte », c'est un jugement qui varie selon les circonstances extérieures et les humeurs de celui qui l'émet. La doxa est un ensemble disparate d'idées peu réfléchies qui expriment les émotions ou les préjugés de leurs auteurs. Les sondages en sont la preuve. La même question obtient des réponses différentes selon le moment où elle est posée. Il semble donc impossible de parler d'une opinion définitive. Il nous arrive de dire que notre opinion « est faite », mais nous pouvons en douter car ce type de pensée est par essence voué au changement. Cela n'exclut pas qu'une opinion puisse être vraie. Dans le Ménon , Platon définit « l'opinion droite » comme une pensée qui tombe juste sans pouvoir démontrer ce qu'elle avance. Même « droite », l'opinion est mouvante, semblable en cela aux statues de Dédale dont la légende disait qu'elles se mettaient en marche pendant la nuit.

B. Vérité et démonstration

Une citation doit être expliquée pour que sa place soit justifiée.

Il s'ensuit que la vérité est d'une autre nature que l'opinion. Une pensée vraie est définie par son immuabilité due au fait qu'elle est démontrée . Une démonstration est, selon Leibniz, « un raisonnement par lequel une proposition devient certaine. Ce qui arrive chaque fois que l'on montre à partir de quelques suppositions qui sont posées comme assurées que celle-là s'ensuit nécessairement  ». Une proposition est une déclaration qui affirme ou nie quelque chose au sujet de quelque chose. Elle peut donc être jugée vraie ou fausse selon son sens ou selon la conformité avec ce qu'elle désigne. La démonstration est alors un enchaînement de propositions qui doit aboutir à une et une seule conclusion. L'alliance de la vérité avec ce qui est définitif est donc très forte. Ce qui est nécessaire ne peut être autrement qu'il n'est. C'est irrévocable car les relations logiques sont intemporelles . On peut dire qu'il est vrai que telle proposition est fausse quand on a la certitude que rien ne pourra modifier ce jugement.

[Transition] Cette première partie n'est cependant pas suffisante. N'y a-t-il de vérité que dans le cadre de la démonstration ?

2. Vérité et temporalité

A. vérité de raison et vérité de fait.

Aristote soutient que seule une proposition est susceptible d'être démontrée. Cela ne signifie pas que toutes puissent l'être. Si je dis : « une cigogne est sur le toit de ma maison », j'affirme quelque chose au sujet d'un état du réel. Ma proposition est vraie sans être démontrée car elle se fonde sur une perception sensible. Je décris ce que je vois présentement. Deuxièmement, sa vérité est temporaire . Il y aura un temps où cette cigogne ne sera plus sur le toit. Ce point donne lieu à la distinction entre vérité de raison et vérité de fait . La première est issue de la démonstration comme, par exemple, le théorème de Pythagore. Il est impossible que le carré de l'hypoténuse ne soit pas égal à la somme des carrés des deux autres côtés. La seconde est contingente . La cigogne aurait pu ne pas être sur le toit au moment où je l'ai vue. La proposition opposée était donc possible. Ce qui est du domaine sensible est temporel, donc transitoire, mais ce que je dis est vrai au moment où je le ressens. Leibniz parle à ce sujet de vérités « particulières et individuelles », qu'il distingue des vérités « nécessaires et éternelles ».

B. La vérité historique

Choisissez un exemple pour illustrer votre thèse.

Une vérité de fait reste cependant une vérité. C'est la nature de la proposition qui doit changer. La temporalité et la contingence peuvent aller de pair avec une vérité, pourvu que la chose soit correctement formulée. En ce sens, il est toujours possible de dire que toute vérité est définitive . Il sera toujours vrai que cette cigogne a été tel jour à telle heure sur le toit de ma maison. C'est irrévocable et ce point est très important. Pensons au statut de la vérité historique . Arendt rappelle qu'il y a une réalité des faits qui doit être connue et conservée. Ainsi, il sera toujours faux de soutenir que la Belgique a envahi l'Allemagne en 1914. Certes, l'interprétation est inévitable et nous savons que les historiens peuvent diverger sur l'importance d'un événement. Il reste que la sauvegarde des vérités de fait est capitale sous peine de faire basculer l'histoire dans la fiction. Définir la vérité par l'accord de l'idée et du réel sensible aboutit ainsi à mettre en valeur le rôle de l' esprit dans sa relation au temps. Les faits sont temporels donc passagers, l'esprit dit ce qui est et a été. Les historiens immortalisent les événements en les transformant en objets d'un récit. Hegel écrit qu'ils les déposent dans le temple de Mémoire, la mère des Muses.

[Transition] Il y aurait donc deux types de vérité ayant en commun la propriété d'être définitive. Existe-t-il des vérités qui n'aient pas ce caractère ?

3. Le paradoxe des sciences

A. la vérité scientifique.

La vérité scientifique passe pour le modèle de toute objectivité. Les sciences font des hypothèses, expérimentent, et varient leurs protocoles avant de formuler une conclusion. La vérité d'un énoncé est le stade terminal d'une enquête. Ainsi, une proposition vraie demande du temps pour être établie mais ce qu'elle formule prétend valoir intemporellement. Platon estime que les travaux du géomètre débouchent sur la contemplation des propriétés éternelles des figures. Or les sciences modernes intègrent dans leurs résultats les conditions de leur démarche et soulignent l'extrême complexité du réel. Bachelard écrit qu'elles ne connaissent ni «  échec radical  » ni «  succès définitif  ». Les sciences sont une activité jamais achevée, elles progressent en rectifiant leurs erreurs. Ceci n'annule pas la différence entre vérité et opinion. Des énoncés scientifiques ont une rigueur mais ils restent conditionnels et, à ce titre, relatifs donc non définitifs. Ils sont vrais tant que les déterminations qui les conditionnent ne changent pas. Même le théorème de Pythagore est relatif à une certaine géométrie.

B. Vérité et subjectivité

Nous sommes ainsi en plein paradoxe. C'est au cœur des sciences que le caractère définitif des vérités est problématique car elles prétendent dire vrai au sujet du réel. Cela nous oblige à réfléchir au rôle de la subjectivité dans la position des vérités. Nous sommes des êtres temporels et, à ce titre, nos jugements sont marqués par notre finitude. Un jugement définitif marque donc une volonté de résister au temps. Descartes le montre lorsqu'il affirme que « cette proposition : je suis, j'existe, est nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois dans mon esprit ». Le doute méthodique a suspendu la croyance aux choses sensibles et même aux vérités mathématiques mais je ne peux douter d'être tant que je pense. C'est du sein de ma temporalité que je découvre, par une méditation, une vérité intangible qui requiert une présence de l'esprit à lui-même. L'identité de la pensée et de mon existence est indubitable. Dans un autre domaine, la vérité du croyant est obtenue par un acte de foi mais elle se présente aussi comme une certitude subjective . La foi est, selon Pascal, « Dieu sensible au cœur, non à la raison ». À ce titre, un croyant peut estimer que l'existence de son Dieu est une vérité irrévocable même s'il ne peut la démontrer. Dans les deux cas, le caractère définitif de la vérité énoncée est dû à la qualité d'un acte de l'esprit.

En conclusion, il apparaît qu'il existe des vérités non définitives dans les sciences car elles cherchent à connaître objectivement le réel, ce qui ne peut se faire que de façon conditionnelle et fragmentaire. Cela étant, même un fait passager et contingent peut donner lieu à une vérité irrévocable pourvu que la proposition qui l'énonce soit correcte. Dans ce cas, l'aspect définitif de la vérité ne vient pas des choses désignées mais de l'adéquation de ce qui est dit au réel. Enfin, il est possible de donner à une certitude subjective une valeur définitive.

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Corrigés Bac philo 2010 - série L

Corrigés Bac philo 2010 – série L

Des profs de philo ont planché comme vous sur les sujets du bac philo. Découvrez ici le fruit de leur réflexion…

Sujet de dissertation n°1 : La recherche de la vérité peut-elle être désintéressée ?

I. La recherche de la vérité commande l’activité scientifique, condition d’une maîtrise du monde :

A. La vérité comme point d’application de l’activité rationnelle et horizon de la recherche scientifique :

a) Chercher la vérité pour éviter l’erreur et les tromperies des sens :

Cf. Descartes et son Discours de la méthode pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences (1637) et la tradition épistémologique autant que métaphysique poursuivie par Malebranche dans La recherche de la vérité où l’on traite de l’esprit de l’homme et de l’usage qu’il en doit faire pour éviter l’erreur dans les sciences (1712)

La recherche de la vérité est d’abord orientée dans la connaissance de l’esprit humain et sa définition métaphysique : cf. Descartes, l’erreur et la tromperie, marques de mon impuissance et de ma finitude, la certitude et la vérité comme « connaissance claire et distincte », preuves de mon existence d’être pensant, et que l’ « âme est plus aisée à connaître que le corps » ( voir Méditations métaphysiques)

b) La vérité comme horizon de la recherche scientifique :

Descartes et Malebranche à la recherche d’une méthode pour « bien conduire sa raison » c’est-à-dire se donner les moyens de prendre une chose pour vraie si je peux en reconnaître les critères d’évidence. Perspective spécifiquement épistémologique qui dérive de la démarche métaphysique ; je vise à me connaître comme esprit pensant capable de « distinguer le vrai du faux », ce qui me permet de prétendre à connaître scientifiquement un phénomène aussi vrai que la certitude de mon existence de sujet pensant a été éprouvée.

B. L’intérêt d’une telle recherche est manifestée dans l’idéal technicien né de la révolution galiléo-cartésienne :

a) « Parvenir à des connaissances qui soient fort utiles à la vie »(Descartes, Discours de la méthode, 6è partie) L’activité rationnelle et la découverte des premières certitudes ( métaphysiques, à commencer par le cogito et l’existence de Dieu) ont pour perspective une application dans le champ de la vie pratique. La physique doit déboucher sur une médecine essentiellement et ne pas rester une « philosophie spéculative ».

b) Le prolongement par les techno-sciences : La recherche de la vérité repose sur l’intérêt de son application pratique voire commerciale ( voir les programmes de recherche commandés par les laboratoires pharmaceutiques et l’essor des bio-technologies)

II. La recherche de la vérité possède une visée éthique et politique car la vérité est plurielle :

A. le « dire-vrai », condition d’une relation éthique :

a) la relation à autrui comme « fin, pas seulement comme moyen » : (Kant) La recherche de la vérité ne repose pas sur un intérêt extérieur lorsqu’il s’agit de la vérité des relations intersubjectives .

b) Montaigne et son analyse du mensonge comme origine de la rupture des relations humaines (« le mentir est un mauvais maître et nous ne nous tenons les uns aux autres que par la parole »).

B. le « courage de la vérité »( Foucault) :

a) La recherche de la vérité à une visée éthique : dire-vrai, ne rien cacher de la vérité au nom du désintérêt du vrai lui-même : cf. Socrate dans le Gorgias : saisir l’essence de la rhétorique, c’est d’abord se mettre d’accord sur la méthode de recherche et respecter l’interlocuteur (Polos s’y refuse). Recherche désintéressée de la vérité non plus possible mais nécessaire au travail de la pensée et à l’activité du dialogue entre interlocuteurs.

b) Les implications politiques du « dire-vrai » : cf.Foucault, Le courage de la vérité : comment la vérité dans le discours rend possible l’exercice de la délibération démocratique. Personne n’attend une satisfaction personnelle mais tous visent à « bien-vivre en commun » en instaurant des relations de confiance.

La recherche de la vérité est donc plurielle dans sa méthode comme dans son champ d’application ; c’est pourquoi la vérité n’est peut-être pas comme le soutient Spinoza « index sui et falsi » ( signe caractéristique du vrai et du faux) mais production dialogique entre personnes sans intérêt autre que l’intérêt commun de viser le juste dans des relations de confiance, tout comme la vérité de foi est recherchée non tant pour une satisfaction personnelle que pour l’expérience désintéressée d’une relation avec l’Autre.

Sujet de dissertation n°2 : Faut-il oublier le passé pour se donner un avenir ?

Analyse du sujet : Le sujet est formulé sous la forme « faut-il ? » qui renvoie non pas à des conditions de possibilité mais à une nécessité ( de quel ordre ?) ou à une exigence ( morale ? psychologique ?) Il n’est pas précisé de qui il s’agit, si c’est un sujet individuel ou collectif ( une nation, un Etat, une communauté humaine…) et il faudra alors saisir l’ensemble des dimensions possibles de ce sujet. L’oubli peut être volontaire (relecture du passé) ou involontaire ( voir la démarche psychanalytique qui fait au contraire réapparaître le passé enfoui dans l’inconscient ( traumatismes refoulés : « oublis involontaires » ou passé inconscient qui peut resurgir au présent à travers les lapsus) pour permettre à l’individu de se construire un avenir) Distinguer « le » passé comme objet clos sur lui-même, révolu, susceptible d’être mémorisé, analysé historiquement ou oublié et « l’ » avenir comme un possible à réaliser et non comme le produit déterminé du passé et du présent ( voir la lecture providentialiste de l’Histoire chez Bossuet ou déterministe et scientifique chez Marx). Distinguer avenir et futur : l’avenir comme dimension temporelle « humanisée » comme « extension de la durée » (Bergson), temps du projet et le futur comme dimension temporelle objective.

Enjeux du sujet : Ils sont doubles : la réflexion renvoie à la construction de soi-même comme sujet libre par l’expérience qu’il fait du temps mais aussi à l’identité d’un sujet collectif ( Etat, nation, communauté politique ou sociale) qui se construit par blessures mémorielles, événements historiques et capacité politique de se donner un destin. Bien prendre garde aussi à envisager le passé et l’avenir par rapport au présent, puisque les trois dimensions temporelles sont indissociables même si le présent n’est pas explicitement évoqué dans la formulation du sujet. Il est donc à la fois question du sujet, de la liberté, de la politique et du temps et de l’Histoire et la difficulté du sujet tient à l’articulation de ces différentes notions.

Ecueils à éviter : Ne retenir qu’une dimension du sujet sans justifier pourquoi on laisse de côté un autre aspect ( par exemple, le sujet individuel, psychologique préféré au sujet collectif, ou l’oubli involontaire préféré au volontaire…) Faire du sujet un prétexte à « réciter » un cours sur le temps ou l’Histoire.

Eléments de plan : Interroger la possibilité même d’ « oublier le passé » non comme pathologie amnésique mais comme refoulement ou rejet pour envisager la possibilité de « se donner » un avenir c’est-à-dire construire librement son destin en consentant à être le sujet du « triple présent » dont parle saint Augustin ( présent du passé, présent du présent, présent du futur) L’impossibilité démontrée d’ »oublier » le passé (I) n’est pas un obstacle mais la condition pour construire un avenir comme fruit d’une action libre et d’un sujet inscrit dans l’histoire ( II).

I.La nécessité d’oublier le passé, une exigence pour aller de l’avant ou un désir illusoire voire régressif ?

A. « L’expérience intime du temps » (Husserl) me fait éprouver que je ne vis pas dans l’instant :

a) la continuité vécue des présents me fait prendre conscience du temps : Cf. Saint Augustin, Confessions, livre XI : présent du passé par la mémoire, présent du présent par l’attention, présent du futur par l’attente.

b) faut-il oublier le passé, et, si oui, sur quoi repose une telle exigence ? l’oubli comme refoulement d’un traumatisme qui est condition de survie ( voir Anna O. analysée par Freud)

l’oubli comme condition nécessaire à l’action vitale : s’alléger du poids du passé de l’histoire « antiquaire et monumentale » ( Nietzsche, Seconde considération inactuelle )

B. Une nécessité qui apparaît comme désir illusoire :

a) le retour du refoulé dans le sujet individuel comme collectif : l’approche psychanalytique du surgissement involontaire, inconscient du passé, source de traumatismes

b) le risque d’oublier pour mieux faire disparaître ce qui a été : tentation de « réécrire l’Histoire » et dérives négationnistes

II. Loin d’oublier le passé, le réinterroger pour lui trouver une « juste place » pour construire un projet :

A. La « juste place » de la mémoire, entre pardon et vérité :

a) Cf. Ricoeur, La mémoire, l’histoire, l’oubli : l’expérience du pardon et de la réconciliation comme processus de libération sans occultation du passé.

b) Le travail des historiens qui vise à comprendre plutôt qu’à expliquer : Cf. le débat entre repentance à visée idéologique et éclairage du présent par le passé pour construire un futur : l’impasse des « lois mémorielles » et le mythe des commémorations qui « accrochent » le sujet dans le passé

B. Ménager une place au passé pour construire son « identité narrative »( Ricœur)

a) un sujet capable de se dire pour se projeter : cf. Proust et le retour sur soi dans le passé comme condition pour se reconnaître écrivain

b) « se donner » un avenir, c’est donc faire l’expérience d’un regard libre sur le passé comme condition pour écrire son histoire.

Loin de céder à l’oubli, c’est à un travail de lecture du passé que le sujet doit se livrer pour comprendre d’où il vient et à partir de là faire l’expérience de la liberté qui est « obéissance à la loi qu’on s’est prescrite » (Rousseau) c’est-à-dire autonomie.

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L'existence humaine et la culture

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  • L’enfance est-elle ce qui doit être surmonté ?
  • L’historien ne peut-il examiner le passé qu’en fonction de son présent ?
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  • Faire table rase du passé
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  • Faut-il vivre avec son temps ?
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  • La mémoire est-elle nécessaire à l'Histoire ?
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  • Le futur n'existe-t-il que dans notre pensée ?
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  • Le premier Humain
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  • Ne vit-on qu'au présent ?
  • «Nous avons été enfants avant que d'être hommes». Quelles conséquences ?
  • Peut-on comparer l'histoire de l'humanité à l'histoire d'un homme ?
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  • Peut-on dire qu'il existe des sociètés civilisées et d'autres pas ?
  • Peut-on se libérer du passé ?
  • Peut-on vouloir être immortel ?
  • Pourquoi avons-nous intérêt à étudier l’histoire ?
  • Pourquoi s'intéresser à l'histoire ?
  • Puis-je juger la culture à laquelle j'appartiens ?
  • Que faut-il faire de la tradition ?
  • Que veut-on dire quand on définit l'homme comme un être historique ?
  • Suis-je ce que mon passé a fait de moi ?
  • A quoi sert la religion ?
  • Croire, est-ce renoncer à savoir ?
  • Doit-on considérer la religion comme l'ennemie de la raison ?
  • Entre croire et savoir, faut-il choisir ?
  • Est-ce faiblesse que de croire ?
  • Faut-il aimer son prochain ?
  • La foi religieuse exclut-elle tout recours à la raison ?
  • La peur gouverne t-elle nos croyances ?
  • La raison doit-elle combattre les croyances ?
  • La raison peut-elle remplacer la religion ?
  • La raison s'oppose t-elle à toutes formes de croyance ?
  • La religion et la liberté s’excluent-elles ?
  • La religion n'a-t-elle de fonction que sociale ?
  • La religion n'est-elle qu'une consolation infantilisante ?
  • La religion nourrit-elle l’amour ?
  • La religion peut-elle n'être qu'une affaire privée ?
  • La religion rassemble-t-elle ou divise-t-elle les hommes ?
  • La science est-elle incompatible avec la religion ?
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  • L'homme peut-il se passer de religion ?
  • L'humanité peut-elle se concevoir sans religion ?
  • Nos convictions morales sont-elles fondées sur l’expérience ?
  • Peut-on affirmer que ne croire en rien est un progrès pour l'Homme ?
  • Peut-on combattre la croyance par le raisonnement ?
  • Peut-on considérer la religion comme une aliénation ?
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  • Pouvons-nous toujours justifier nos croyances ?
  • « Prophète de malheur ! »
  • Qu'est-il raisonnable de croire ?
  • Sommes-nous responsables de nos croyances ?
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  • Toute croyance est-elle contraire à la raison ?
  • Toute expression religieuse doit-elle être rejetée de la vie publique ?
  • Une société peut-elle se passer de religion ?
  • A quelles conditions une activité est-elle un travail ?
  • A-t-on toujours intérêt à travailler ?
  • Ce que l'homme accomplit par son travail peut-il se retourner contre lui ?
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  • Gagne t-on sa vie en travaillant ?
  • La dignité humaine dépend-elle d'un travail ?
  • Le travail dénature t-il l'homme ?
  • Le travail divise t-il les hommes ?
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  • Le travail est-il libérateur ?
  • Le travail n'est-il qu'une contrainte ?
  • Le travail permet-il de prendre conscience de soi ?
  • L'homme doit-il travailler pour être humain ?
  • L'homme peut-il se contenter de travailler en vue du seul gain ?
  • Peut-on affranchir le travailleur de toute servitude ?
  • Peut-on se contenter de travailler pour vivre ?
  • Pourquoi travaille-t-on ?
  • Que gagne t-on en travaillant ?
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  • Que vaut l’opposition du travail manuel et du travail intellectuel ?
  • Travail et liberté sont-ils compatibles ?
  • Travailler, est-ce seulement être utile ?
  • Travailler moins, est-ce vivre mieux ?
  • Travailler rend-il libre ?
  • Est-il raisonnable de critiquer le progrès technique ?
  • Est-il souhaitable de réaliser tout ce qui est techniquement possible ?
  • Faut-il limiter la puissance humaine ?
  • La technique est-elle une menace pour l'humanité ?
  • La technique ne sert-elle qu'à nous rendre maître de la nature ?
  • La technique n'est-elle pour l'homme qu'un moyen ?
  • La technique peut-elle maîtriser la nature ?
  • La technique peut-elle transformer la morale ?
  • La valeur d'une civilisation est-elle fonction de son développement technique ?
  • Le développement de la technique obéit-il a une fatalité ?
  • Le développement technique peut-il être un facteur d'esclavage ?
  • Le développement technique transforme-t-il les hommes ?
  • Le progrès technique rend-il l'être humain plus heureux ?
  • Les objets techniques imposent-ils une façon de penser ?
  • Peut-on s'opposer au progrès technique ?
  • L’expérience partagée est-elle forcément la fin de l’expérience personnelle ?
  • En apprenant sa langue maternelle n'apprend-on qu'à parler ?
  • Est-il dans la nature de la parole d’être à la fois véridique et mensongère ?
  • Est-il sage de peu parler ?
  • La langue universelle est-elle réalisable ?
  • La parole est-elle le meilleur moyen d'échanger des idées ?
  • La pluralité des cultures est-elle un obstacle à l'unité du genre humain ?
  • La rhétorique est-elle utile ?
  • Le langage est-il ce qui nous rapproche ou ce qui nous sépare ?
  • Le langage est-il le propre de l'homme ?
  • Le langage est-il objet de science ?
  • Le langage n'est-il qu'un instrument ?
  • Le langage n’est-il qu’un outil ?
  • Le langage n’est-il qu’un outil de la pensée ?
  • Le langage nous trahit-il ?
  • Le langage rapproche-t-il les hommes ?
  • Le langage sert-il à exprimer la réalité ?
  • Le langage sert-il à parler ou bien à penser ?
  • Le langage trahit-il la pensée ?
  • Le sens de ce que l’on dit se réduit-il à ce que l’on veut dire ?
  • Les mots cachent-ils les choses ?
  • Les mots nous éloignent-ils des choses ?
  • Parler est-ce le contraire d'agir ?
  • Peut-on communiquer nos sentiments et passions ?
  • Peut-on juger objectivement la valeur d'une culture ?
  • Peut-on parler de langage animal ?
  • Peut-on penser qu'une parole puisse être dénuée de sens ?
  • Peut-on tout dire ?
  • Pourquoi écrit-on ?
  • Pourquoi parle-t-on ?
  • Pouvons-nous dire ce que nous voulons dire ?
  • Que peut le langage ?
  • Recourir au langage, est-ce renoncer à la violence ?
  • Serait-il souhaitable que l'humanité parle une seule langue ?
  • Suffit-il de communiquer pour dialoguer ?
  • Tout dialogue doit-il aboutir à un accord ?
  • Toute discussion doit-elle déboucher sur un accord ?
  • L’activité artistique peut-elle ne pas viser la beauté ?
  • L’artiste donne-t-il quelque chose à comprendre ?
  • L’art n’obéit-il à aucune règle ?
  • L’art peut-il se passer d’une maîtrise technique ?
  • L’art transforme-t-il notre conscience du réel ?
  • Défendez l'hypothèse selon laquelle l'art est un besoin et non un luxe
  • A quoi sert la culture ?
  • Art et Philosophie
  • Des artistes, pour quoi faire ?
  • Est-ce faire honneur à la Beauté que de la traiter comme un symbole ?
  • Est-ce le regard du spectateur qui fait l'oeuvre d'art ?
  • Est-ce un devoir pour l’homme d’être cultivé ?
  • Faut-il être connaisseur pour apprécier une oeuvre d'art ?
  • Faut-il être cultivé pour apprécier une oeuvre d'art ?
  • La beauté n’est-elle qu’apparence ?
  • La culture dénature-t-elle l'homme ?
  • La culture fait-elle l’homme ?
  • La culture nous permet-elle d'échapper à la barbarie ?
  • La culture nous rend-elle plus humains ?
  • L'art a t-il pour seule fonction de nous plonger dans l'imaginaire ?
  • L'art est-il moins nécessaire que la science ?
  • L'art fait-il réfléchir ou fait-il rêver ?
  • L'artiste doit-il chercher à rendre compte de la réalité ?
  • L'artiste est-il maître de son œuvre ?
  • L'art modifie-t-il notre rapport à la réalité ?
  • L'art peut il se passer de règles ?
  • Le plaisir est-il l'origine et la fin de l'art ?
  • Les artistes nous aident-ils à être libres ?
  • Les artistes sont-ils utiles ?
  • Les œuvres d'art éduquent-elles notre perception ?
  • L'expérience de la beauté passe-t-elle nécessairement par l'oeuvre d'art ?
  • L'imagination est-elle créatrice ?
  • L'oeuvre d'art manifeste-t-elle un absolu ?
  • Peut-on apprendre à devenir artiste ?
  • Peut-on convaincre autrui qu'une oeuvre d'art est belle ?
  • Peut-on convaincre quelqu'un de la beauté d'une oeuvre d'art ?
  • Peut-on dire que l'objet ordinaire diffère de l'œuvre d’art ?
  • Peut-on reprocher à une œuvre d’art de ne rien valoir ?
  • Pour goûter une oeuvre d'art, faut-il être cultivé ?
  • Pourquoi sommes-nous sensibles à la beauté ?
  • Qu'est-ce que la valeur d'une oeuvre d'art ?
  • Reconnaît-on l'artiste à son savoir-faire ?
  • Un artiste doit-il être original ?
  • Une oeuvre d'art a-t-elle quelque chose à nous apprendre ?
  • Une œuvre d’art a-t-elle toujours un sens ?
  • Une œuvre d’art est-elle nécessairement belle ?

La connaissance

  • A quoi reconnaît-on une fausse science ?
  • A quoi sert l'esprit critique ?
  • A-t-on le droit de se taire quand on connaît la vérité ?
  • Avons-nous le devoir de chercher la vérité ?
  • Chercher la vérité, est-ce prendre un risque ?
  • Comment peut-on savoir que l'on dit vrai ?
  • De quelle vérité l'opinion est-elle capable ?
  • Devons-nous nous méfier de nos certitudes ?
  • Doit-on toujours dire la vérité ?
  • Doit-on tout soumettre à la raison ?
  • Douter, est-ce renoncer à la vérité?
  • Est-il vrai que toutes les opinions se valent ?
  • Existe-t-il pour l'homme des questions sans réponse ?
  • Faut-il craindre la vérité ?
  • Faut-il philosopher pour bien vivre ?
  • Faut-il préférer le bonheur à la vérité ?
  • Faut-il se questionner pour vivre ?
  • Faut-il toujours dire la vérité, toute la vérité ?
  • Interprète-t-on à défaut de connaître ?
  • La conviction d’avoir raison est-elle un obstacle au dialogue ?
  • La nature des choses
  • La passion de la vérité conduit-elle au fanatisme ?
  • La philosophie est-elle un luxe théorique ?
  • La philosophie est-elle utile ?
  • La philosophie nous détache-t-elle du monde ?
  • La recherche de la vérité peut-elle être désintéressée ?
  • La réflexion philosophique doit-elle et peut-elle être utile ?
  • La réflexion philosophique nous détache-t-elle du monde ?
  • La vérité est-elle soumise au temps ?
  • La vérité relève-t-elle de ce qui est démontrable ?
  • Le doute est-il toujours l'ennemi de la connaissance ?
  • Le doute est-il une force ou une faiblesse ?
  • Le rationnel et l'irrationnel
  • Les apparences sont elles toujours trompeuses ?
  • Les faits parlent-ils d'eux-mêmes ?
  • Le vrai est-il toujours vraisemblable ?
  • L'exercice du doute est-il le monopole du philosophe ?
  • L'expérience est-elle la seule source de nos connaissances ?
  • L'imagination est-elle ennemie de la vérité ?
  • L'opinion a-t-elle toujours tort ?
  • Peut-il y avoir des vérités partielles ?
  • Peut-on avoir raison contre les autres ?
  • Peut-on dire "à chacun sa vérité" ?
  • Peut-on dire: "C'est vrai, j'en suis certain !" ?
  • Peut-on dire que la perception est une connaissance ?
  • Peut-on dire que toutes les opinions se valent ?
  • Peut-on distinguer l'illusion de l'erreur ?
  • Peut-on douter de tout ?
  • Peut-on en finir avec les préjugés ?
  • Peut-on être indifférent à la vérité ?
  • Peut-on imposer la vérité ?
  • Peut-on juger les opinions ?
  • Peut-on ne pas vouloir la vérité ?
  • Peut-on parvenir à d'authentiques certitudes ?
  • Peut-on penser sans préjugés ?
  • Peut-on répondre philosophiquement à une question en donnant son opinion ?
  • Peut-on se mentir à soi-même ?
  • Peut-on se passionner pour la vérité ?
  • Peut-on tout justifier ?
  • Peut-on vivre sans se poser de questions ?
  • Pour bien penser faut-il ne rien aimer ?
  • Pourquoi avons-nous du mal à reconnaître la vérité ?
  • Pourquoi des philosophes ?
  • Pourquoi faisons-nous de la philosophie ?
  • Quels sont les critères du réel ?
  • Que signifie faire appel à son esprit critique ?
  • Que vaut une preuve contre un préjugé ?
  • Toutes les opinions sont-elles respectables ?
  • Tout est-il interprétable ?
  • Toute vérité est-elle nécessairement rationnelle ?
  • Toute vérité est-elle relative ?
  • Tout vérité doit-elle être prouvée ?
  • Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
  • Un Homme libre doit-il refuser toute censure ?
  • Y a-t-il de bons préjugés ?
  • Y a-t-il des problèmes philosophiques dépassés ?
  • Y a-t-il des questions auxquelles aucune science ne répond ?
  • Y a-t-il des vérités premières ?
  • L’homme peut-il apprendre à penser ?
  • Définir la logique comme l'art de penser, est-ce appauvrir la pensée ?
  • Est-il raisonnable d'aimer ?
  • Etre raisonnable est-ce renoncer à ses désirs ?
  • Faut-il démontrer pour savoir ?
  • La raison permet-elle de mettre les hommes d'accord ?
  • La raison peut-elle rendre raison de tout ?
  • Le doute est-il un échec de la raison ?
  • Le sommeil de la raison engendre-t-il des monstres ?
  • L'opinion peut-elle nous apporter un savoir ?
  • Peut-il y avoir un mauvais usage de la raison ?
  • Peut-on avoir raison contre les faits ?
  • Peut-on justifier une opinion ?
  • Peut-on se fier à la raison ?
  • Qu'est-ce qu'un fait ?
  • Sagesse et folie sont-elles réellement incompatibles ?
  • Suffit-il d'avoir raison pour convaincre ?
  • Suffit-il de démontrer pour convaincre ?
  • Y a-t-il une différence entre penser et avoir des opinions ?
  • L’expérience n’est-elle qu’empirique ?
  • Apprendre est-ce seulement s'informer ?
  • À quoi servent les sciences ?
  • Comment les notions mathématiques dépendant de l'esprit peuvent-elles expliquer un réel qui n'en dépend pas ?
  • D'où vient la force des préjugés ?
  • En quoi consiste l'objectivité scientifique ?
  • Est-ce le recours à l'expérience qui garantit le caractère scientifique d'une théorie ?
  • Est-ce leur confirmation expérimentale qui fait le succès des sciences humaines ?
  • Faut-il croire pour savoir ?
  • La connaissance de soi comporte-t-elle des obstacles ?
  • La philosophie a-t-elle encore une place dans un monde surtout dominé par la science ?
  • La science découvre-t-elle ou construit-elle ses objets ?
  • La science et la technique nous autorisent-elles à considérer notre civilisation comme supérieure aux autres ?
  • La science ne fournit-elle que des certitudes ?
  • La science se limite-t-elle à constater les faits ?
  • Le progrès est-il un mythe ?
  • Le savoir abolit-il toute croyance ?
  • Les connaissances scientifiques peuvent-elles servir à lutter contre le fanatisme ?
  • Les connaissances scientifiques proviennent-elles de l'expérience sensible ?
  • Les sciences de l’homme nous aident-elles à devenir plus humain ?
  • Les sciences de l'homme suffisent-elles à connaître l'homme ?
  • Les sciences humaines pensent-elles l'homme comme un être prévisible ?
  • Les sens ne sont-ils pas suffisants à nous fournir toutes nos connaissances ?
  • Les théories scientifiques décrivent-elles la réalité ?
  • L'expérience est-elle la seule source de vérité ?
  • L'expérience instruit-elle ?
  • L'usage de la raison est-il une garantie contre l'illusion ?
  • Peut-on contredire l'expérience ?
  • Peut-on dire du doute qu'il est utile à la connaissance et nuisible à l'action ?
  • Peut-on fonder la connaissance sur l'expérience sensible ?
  • Peut-on prouver une hypothèse scientifique ?
  • Pourquoi les hommes s’efforcent-ils de connaître ?
  • Pourquoi nous trompons-nous ?
  • Pourquoi vouloir la science ?
  • Puis-je faire confiance à mes sens ?
  • Science et technique sont-elles toujours légitimes ?
  • Suffit-il d’observer pour connaître ?
  • Une théorie scientifique peut-elle être confirmée ou infirmée par les faits ?
  • Y a-t-il une place pour la philosophie dans une société qui accorde toute sa confiance à la raison scientifique et à la réussite technique ?
  • Y a-t-il un intermédiaire entre savoir et ignorer ?
  • L’idée d’un retour à la nature a-t-elle un sens ?
  • Ce qui est naturel a-t-il nécessairement une valeur ?
  • Comment les sciences humaines questionnent-elles la notion d'inhumain ?
  • Doit-on le respect au vivant ?
  • Faut-il, pour le connaître, faire du vivant un objet ?
  • Faut-il se méfier de l'idée de nature humaine ?
  • La mort se vit-elle comme un ordre ou un désordre ?
  • La nature fait-elle bien les choses ?
  • Les hommes sont-ils méchants par nature ?
  • L'homme est-il un animal dénaturé ?
  • L'homme moderne s'est-il trop éloigné de la nature ?
  • L'homme n'est-il qu'un être naturel ?
  • N'y a-t-il de violence que pour l'homme ?
  • Peut-on avoir peur de la nature ?
  • Peut-on dire que la nature est bonne ?
  • Peut-on distinguer en l’homme ce qu’il y a de naturel et ce qu’il y a de culturel ?
  • Peut-on expliquer le comportement d'un homme en disant "c'est naturel" ?
  • Peut-on reconnaître à l'homme une place particulière dans la nature ?
  • Que serait le monde sans les hommes ?
  • Que signifie l'expression "retour à la nature" ?
  • Que veut-on dire en parlant de la loi de la Nature ?
  • Respecter tout être vivant, est-ce un devoir moral ?
  • Une machine tombe en panne, une personne tombe malade, ces deux évènements sont-ils de même nature ?
  • Vouloir retourner à une vie naturelle a-t-il un sens pour l'homme ?
  • Y a-t-il du désordre dans la nature ?

La morale et la politique

  • Dépend-il de nous d'être heureux ?
  • Désirer est-ce nécessairement souffrir ?
  • Accomplir tous ses désirs est-ce une bonne règle de vie ?
  • Doit-on tout faire pour être heureux ?
  • Est-il absurde de désirer l'impossible ?
  • Est-il légitime de rechercher son bonheur ?
  • Être heureux, est-ce chercher à satisfaire tous ses désirs ?
  • Faut-il avoir peur de ses désirs ?
  • Faut-il changer ses désirs ou l’ordre du monde ?
  • Faut-il choisir entre la vertu et le bonheur ?
  • Faut-il condamner l’amour de soi ?
  • Faut-il lutter contre ses désirs ?
  • Faut-il renoncer aux désirs pour être heureux ?
  • Faut-il s'abstenir de penser pour être heureux ?
  • Faut-il satisfaire tous ses désirs ?
  • Faut-il se méfier de l'amour ?
  • Faut-il toujours préférer la lucidité à la naïveté ?
  • Faut-il vaincre ses désirs plutôt que l'ordre du monde ?
  • Faut-il vivre comme si chaque jour devait être le dernier ?
  • Inventer de la nécessité, n'est-ce pas le plus beau des programmes ?
  • La passion est-elle une erreur ?
  • La passion est-elle une excuse ?
  • La passion nous éloigne-t-elle de la réalité ?
  • La politique divise-t-elle ou rassemble-t-elle ?
  • La pulsion instinctive est-elle plus naturelle que le comportement rationnel ?
  • La raison conduit-elle toujours au bonheur ?
  • La recherche du bonheur est-elle nécessairement immorale ?
  • La recherche du bonheur est-elle une illusion ?
  • La recherche du bonheur s'oppose-t-elle à la liberté ?
  • La société est-elle un obstacle au bonheur ?
  • Le bonheur dépend-il de nous ?
  • Le bonheur, est-ce renoncer à ses désirs ?
  • Le bonheur est-il le bien suprême ?
  • Le bonheur est-il une affaire de chance ?
  • Le bonheur est-il une affaire privée ?
  • Le bonheur est-il une illusion ?
  • Le bonheur sans illusion est-il concevable ?
  • Le bonheur s'apprend-il ?
  • Le bonheur se mérite-t-il ?
  • Le désir connaît-il préalablement son sujet ?
  • Le désir d'être heureux est-il une illusion ?
  • Le désir est-il la marque de la misère de l'homme ?
  • Le désir est­‐il la marque de notre impuissance ?
  • Le désir est-il par nature illimité ?
  • Le désir fait-il le malheur de l'Homme ?
  • Le désir fait-il nécessairement souffrir ?
  • Le désir nous condamne t-il au malheur ?
  • Le désir peut-il se satisfaire de la réalité ?
  • Les hommes ne désirent-ils que ce dont ils ont besoin ?
  • L'homme, être de désir
  • L'homme se reconnaît-il dans les passions ou dans leur maîtrise ?
  • L'usage de la raison fournit-il la seule garantie possible de notre bonheur ?
  • Ne désirons-nous que ce dont nous avons besoin ?
  • Peut-on être heureux dans l'illusion ?
  • Peut-on faire le bonheur des autres ?
  • Peut-on opposer besoin et désir ?
  • Peut-on réduire le désir au manque ?
  • Peut-on vouloir le bonheur des autres ?
  • Peut-on vouloir le mal ?
  • « Philosopher, c'est apprendre à mourir »
  • Philosopher est-ce se compliquer la vie pour rien ?
  • Pour être soi-même, vaut-il mieux suivre ses désirs ou les combattre ?
  • Pourquoi désirer l'impossible ?
  • Pourquoi l'optimiste est-il dit incorrigible ?
  • Pouvons-nous bien vivre sans passion ?
  • Puis-je être heureux sans autrui ?
  • Qu'attend-on pour être heureux ?
  • Qu'est-ce qu'une vie ratée ?
  • Qu'est ce qu'un homme seul ?
  • Que veut dire : « Se rendre maître de ses passions ? »
  • Réaliser tous ses désirs, est-ce une règle de vie ?
  • Sans autrui, y aurait-il des passions ?
  • Savons-nous toujours ce que nous désirons ?
  • Sommes-nous responsables de nos désirs ?
  • Un désir peut-il être coupable ?
  • Une action désintéressée est-elle possible ?
  • Une passion sans illusion est-elle possible ?
  • Une vie bien remplie est-elle une vie bien vécue ?
  • Une vie heureuse est-elle une vie de plaisir ?
  • Un problème moral peut-il recevoir une solution certaine ?
  • Vaut-il mieux "changer ses désirs que l'ordre du monde" ?
  • Vivons-nous pour être heureux ?
  • Vivre l'instant présent, est-ce une règle de vie satisfaisante ?
  • Y a-t-il un plaisir à désirer ?
  • L’obéissance est-elle toujours une entrave à la liberté ?
  • Autrui est il condition ou limite à ma liberté ?
  • Autrui est-il une condition ou un obstacle à ma liberté ?
  • Dire non, cela suffit-il à être libre ?
  • Doit-on apprendre à être libre ?
  • Est-il nécessaire de vouloir toujours plus de libertés ?
  • Est-on d'autant plus libre qu'on a des raisons d'agir comme on le fait ?
  • Est-on d’autant plus libre qu’on est conscient ?
  • Être libre, est-ce faire ce que l'on veut ?
  • Etre libre est-ce ne renconter aucun obstacle ?
  • Être libre, est-ce nier les déterminismes ?
  • Etre libre est-ce pouvoir choisir ?
  • Faut-il choisir entre être heureux ou être libre ?
  • Faut-il préférer la liberté au bonheur ?
  • Faut-il préférer la révolte à la résignation ?
  • La liberté comporte-t-elle des degrés ?
  • La liberté connaît-elle des limites ?
  • La liberté consiste-t-elle à faire ce que l'on veut ?
  • La liberté consiste-t-elle à faire ce qui nous plaît ?
  • La liberté d’expression doit-elle être limitée ?
  • La liberté d'expression peut-elle être sans limites ?
  • La liberté est-ce seulement l'indépendance ?
  • La liberté est-elle compatible avec le déterminisme ?
  • La liberté est-elle menacée par l'égalité ?
  • La liberté est-elle possible sans courage ?
  • La liberté est-elle source d'obstacles ?
  • La liberté est-elle une donnée ou une conquête ?
  • La liberté est-elle une illusion ?
  • La liberté est-elle une illusion de la conscience ?
  • La liberté est-elle un fardeau ?
  • La liberté n'est-elle qu'une illusion ?
  • La liberté peut-elle se définir comme l'obéissance à la raison ?
  • Le domaine de la liberté commence-t-il là où s'arrête la liberté ?
  • Le droit à la bêtise ?
  • L'homme est-il libre ?
  • L'homme peut-il disposer de sa vie comme il l'entend ?
  • L'homme peut-il être inhumain ?
  • L'indépendance suffit-elle à définir la liberté ?
  • L'obéissance est-elle incompatible avec la liberté ?
  • L'usage de notre raison nous rend-il libre ?
  • Ma liberté est-elle entravée par la liberté ou par l'esclavage d'autrui ?
  • Ma liberté s'arrête-t-elle où commence celle d'autrui ?
  • Naît-on libre ou le devient-on ?
  • Obéir est-ce renoncer à sa liberté ?
  • Obéir est-ce renoncer à sa liberté de penser ?
  • Penser par soi seul, est-ce penser librement ?
  • Peut-on à la fois obéir et être libre ?
  • Peut-on apprendre à être libre ?
  • Peut-on avoir peur d'être libre ?
  • Peut-on choisir d'être celui que l'on est ?
  • Peut-on concilier désir et liberté ?
  • Peut-on dire « à chacun sa morale » ?
  • Peut-on être heureux sans être libre ?
  • Peut-on être libre sans exercer sa citoyenneté ?
  • Peut-on être sans le savoir ?
  • Peut-on forcer quelqu'un à être libre ?
  • Peut-on obéir aux lois sans renoncer à sa liberté ?
  • Peut-on prouver la liberté ?
  • Peut-on rire de tout ?
  • Peut-on se libérer de sa culture ?
  • Que recherche t-on en réclamant toujours plus de liberté ?
  • Se sentir obligé, est-ce renoncer à sa liberté ?
  • Suffit-il d'avoir le choix pour être libre ?
  • Suis-je libre quand je fais mon devoir ?
  • Toute critique des opinions d’autrui est-elle nécessairement intolérante ?
  • Une action peut-elle être à la fois immorale et libre ?
  • Un homme sans passé peut-il être un homme libre ?
  • Vivre en société, est-ce vivre libre ?
  • L’attrait pour le luxe est-il un mal ?
  • Avons-nous le devoir de faire le bonheur des autres ?
  • De quoi suis-je responsable ?
  • Doit-on respecter la nature ?
  • Est-ce un devoir de rechercher le bonheur ?
  • Faut-il rester fidèle ?
  • La morale a-t-elle un rôle à jouer dans les sciences ?
  • La morale est-elle la meilleure des politiques ?
  • La moralité consiste-t-elle à se contraindre soi-même ?
  • La notion d'obligation est-elle indispensable à la morale ?
  • La tolérance est-elle un vice ou une vertu ?
  • La transgression et le mal
  • Les passions nous empêchent-elles de faire notre devoir ?
  • Les valeurs morales sont-elles relatives ?
  • « Nul n’est méchant volontairement »
  • Peut-on dire: «Tu dois donc tu peux ? »
  • Peut-on obéir librement ?
  • Peut-on s'affranchir de la conscience morale ?
  • Pour bien agir, doit-on savoir ce qu'est le bien ?
  • Punir est-il un devoir ?
  • Qu'avons-nous à gagner à faire notre devoir ?
  • Se doit-on quelque chose ?
  • Suffit-il de faire son devoir ?
  • L’autorité de l’état suppose-t-elle la soumission de l’individu ?
  • Ce qui divise les hommes peut-il être en même temps ce qui les rapproche ?
  • Comment expliquer la violence ?
  • Dans quelles conditions peut-on désobéir aux lois de l'Etat ?
  • En quel sens peut-on dire que l’homme est un animal politique ?
  • En quoi l'homme est-il un animal raisonnable ?
  • La guerre est-elle le pire des maux ?
  • La politique échappe-t-elle à l’exigence de vérité ?
  • La politique n'est-elle pas l'exercice de la virtuosité plutôt que celui de la souveraineté ?
  • La politique répond-elle à nos besoins ?
  • Le bonheur est-il l'affaire de l'Etat ?
  • Le peuple peut-il être souverain ?
  • Les échanges contribuent-ils à la cohésion sociale des hommes ?
  • Les échanges unissent-ils les hommes ?
  • Les hommes ne vivent-ils en société que par intérêt ?
  • Les hommes ont-ils besoin d'être gouvernés ?
  • Les hommes sont-ils violents par nature ou à cause de la vie sociale ?
  • Les rapports avec les autres sont-ils nécessairement de l'ordre du conflit ?
  • L'Etat est-il l'ennemi de la liberté ?
  • L'Etat est-il l'ennemi de l'individu ?
  • L'Etat est-il une institution naturelle ?
  • L'Etat et la religion sont-ils compatibles ?
  • L'homme est-il fait pour vivre en société ?
  • L'opinion peut-elle être le guide du pouvoir politique ?
  • L'usage de la raison permet-il d'éviter la violence ?
  • Nos rapports sociaux sont-ils naturels ?
  • Peut-il être juste de désobéir aux lois ?
  • Peut-on agir moralement sans s'intéresser à la politique ?
  • Peut-on critiquer la démocratie ?
  • Peut-on penser une société sans Etat ?
  • Peut-on séparer la morale et la politique ?
  • Pourquoi échange-t-on ?
  • Que devons-nous à l’État ?
  • Que gagne-t-on à échanger ?
  • Quelle est la fonction première de l'État ?
  • Serions-nous plus libres sans État ?
  • Tout pouvoir est-il nécessairement répressif ?
  • Une société juste est-ce une société sans conflit ?
  • Défendre ses droits, est-ce défendre ses intérêts ?
  • A quelles conditions la loi peut-elle garantir la justice ?
  • Chacun a-t-il le droit de penser ce qu'il veut ?
  • Combattre l'injustice, n'est-ce pas respecter le droit ?
  • Du droit ou de la force, lequel est un moyen pour l'autre ?
  • Est-ce la même chose de faire respecter le droit par la force que de fonder le droit sur la force ?
  • Est-il juste de posséder ?
  • Être juste, est-ce traiter tout le monde de la même façon ?
  • Existe-t-il un droit à la révolte ?
  • La justice se confond-elle avec la stricte égalité ?
  • La justice sociale est-elle une utopie ?
  • La justice suppose-t-elle l'égalité ?
  • La liberté sans la justice est-elle une véritable contradiction ?
  • La loi n’est-elle qu’une contrainte ?
  • Le droit n'est-il que le produit de l'histoire ?
  • Le droit peut-il se passer de la force ?
  • Le juste et l'injuste ne sont-ils que des conventions ?
  • Le pardon et l’autre
  • Les lois s'opposent-elles toujours à la liberté ?
  • Peut-il être raisonnable de désobéir à la loi ?
  • Peut-on fonder le droit de punir ?
  • Peut-on tout pardonner ?
  • Pour être juste, suffit-il d’obéir aux lois ?
  • Pourquoi les hommes se donnent-ils des lois ?
  • Puis-je, au nom de ma conscience, refuser de me soumettre aux lois ?
  • Qu'est-ce que la justice ?
  • Qu’est-ce qu’une loi injuste ?
  • Si le droit est relatif au lieu et au temps, faut-il renoncer à l'idée d'une justice universelle ?
  • Suffit-il de se conformer aux lois pour être juste ?
  • Tout ce que j’ai le droit de faire est-il juste ?
  • Tout comprendre, est-ce tout excuser ?
  • Tout comprendre est-ce tout pardonner ?
  • Une loi peut-elle être injuste ?
  • Une société juste peut-elle s’accommoder d’inégalités ?
  • Y a-t-il de justes inégalités ?
  • Y a-t-il des êtres inhumains ?
  • Y a-t-il des guerres justes ?
  • Y a-t-il un droit du plus fort ?

Dissertations corrigés de philosophie pour le lycée

sujet dissertation philosophie sur la verite

Choisir, est-ce renoncer à sa liberté ?

La dissertation suivante analysera la problématique : choisir est-ce renoncer à sa liberté ? Nous tenterons de répondre à cette question en passant en revue différents points de vue philosophiques sur la liberté et le choix.

  • Dissertations
  • La conscience

sujet dissertation philosophie sur la verite

Ce qui est subjectif est-il nécessairement faux ?

Approcher la question « Ce qui est subjectif est-il nécessairement faux ? » veut nous amener à réfléchir à la corrélation entre subjectivité et fiabilité de la vérité. Cette dissertation analysera cette problématique stimulante depuis diverses perspectives philosophiques.

sujet dissertation philosophie sur la verite

Comment puis-je savoir qui je suis ?

Nous aborderons ici une question essentielle : Comment puis-je savoir qui je suis ? Cette interrogation profonde nous incite à envisager notre propre identité à travers diverses perspectives, depuis un regard intérieur jusqu’à l’impact de notre environnement social.

sujet dissertation philosophie sur la verite

Est-ce raisonnable d’avoir peur du progrès technique ?

La dissertation qui suit va analyser l’interrogation autour de la peur du progrès technique. Cette question enjoint à ruminer sur la rationalité de la peur, les implications du progrès technique et l’interaction entre les deux.

  • La technique

sujet dissertation philosophie sur la verite

En quel sens peut-on dire que la vérité s’impose ?

La question de savoir si la vérité s’impose à nous est l’objection en philosophie. Autrement dit, est-ce que nous découvrons la vérité ou est-elle une construction de nos perceptions ? Ce débat stimulant est au cœur de notre dissertation.

sujet dissertation philosophie sur la verite

Avons-nous le choix d’être libre ?

La notion de liberté soulève d’interminables questionnements, et le choix d’être libre entrelace l’ontologie de l’existence et l’éthique du comportement. Dans cette dissertation, nous tenterons d’interroger ce concept complexe et profond.

sujet dissertation philosophie sur la verite

En quoi suis-je concerné par la liberté des autres ?

Dans le cadre de cette dissertation philosophique, nous allons nous pencher sur la problématique de la liberté d’autrui. Plus précisément, nous considérerons de quelle manière je suis, en tant qu’individu, affecté et impliqué par la libération de mes contemporains.

sujet dissertation philosophie sur la verite

En quel sens les mots nous apprennent-ils à penser ?

La dissertation qui suit se penche sur l’interrogation suivante : en quoi les mots nous instruisent-ils à penser ? Nous analyserons d’abord la nature intrinsèque du langage, puis l’impact des mots sur notre processus de réflexion.

sujet dissertation philosophie sur la verite

Dans quelle mesure les énoncés scientifiques peuvent-ils être considérés comme des vérités ?

La recherche de la vérité est un objectif fondamental en science. Toutefois, la notion de vérité en science est complexe et soulève de nombreuses questions philosophiques. Cette dissertation examinera donc la nature et la portée de la véracité des énoncés scientifiques.

sujet dissertation philosophie sur la verite

Doit-on toujours dire la vérité ?

Le débat sur l’obligation morale de dire la vérité est ancien et complexe. C’est une question cruciale en philosophie morale et éthique. Cette dissertation vise à examiner les divers aspects et perspectives de cette problématique.

sujet dissertation philosophie sur la verite

En art, tout s’apprend-il ?

La dissertation philosophique qui suit aborde la question fascinante : « En art, tout s’apprend-il ? ». De nombreux aspects seront examinés pour évaluer si l’art peut être entièrement enseigné ou s’il existe des éléments intrinsèquement innés.

sujet dissertation philosophie sur la verite

Dire que l’art qu’il n’est pas utilitaire, est-ce dire qu’il est inutile ?

Dans cette dissertation philosophique, nous nous interrogerons sur le rôle et la valeur de l’art. Si l’art n’a pas d’utilité pragmatique, est-ce pour autant qu’il est sans valeur ou même inutile ? Une réflexion qui questionne l’essence même de l’art.

sujet dissertation philosophie sur la verite

Connaissons-nous immédiatement le réel ?

Dans ce travail de réflexion philosophique, nous allons nous interroger sur le lien entre la connaissance et la réalité. Est-ce que nous connaissons immédiatement le réel ou notre compréhension de celui-ci est-elle filtrée ou indirecte ?

sujet dissertation philosophie sur la verite

A-t-on besoin de certitudes pour agir ?

La question « A-t-on besoin de certitudes pour agir ? » nous invite à réfléchir sur l’interaction entre notre connaissance du monde et notre capacité d’action. Cette dissertation philosophique analysera comment la certitude influe sur nos actions.

sujet dissertation philosophie sur la verite

Ce qui est naturel échappe-t-il à l’histoire ?

Dans le débat philosophique, la question de la relation entre nature et histoire suscite diverses réflexions. En effet, l’interrogation « Ce qui est naturel échappe-t-il à l’histoire ? » nous invite à une profonde analyse des liens entre ces deux dimensions.

sujet dissertation philosophie sur la verite

Est-ce par la conscience qu’il faut définir l’homme ?

En se penchant sur la question « Est-ce par la conscience qu’il faut définir l’homme ? », cette dissertation philosophique s’efforce de comprendre si l’essence de l’homme réside réellement dans sa capacité à examiner son existence et ses actions.

sujet dissertation philosophie sur la verite

Est-ce à la justice de dire où est le mal ?

La question de départager le bien et le mal est un débat vieux comme la philosophie elle-même. Ce dilemme, « Est-ce à la justice de dire où est le mal ? », révèle l’interaction entre les notions éthiques et juridiques, concept central à notre coexistence sociale.

sujet dissertation philosophie sur la verite

Est-ce toujours par ignorance que nous commettons des erreurs ?

La dissertation philosophique qui suit s’interroge sur le lien entre ignorance et erreur. Est-ce que nos erreurs sont toujours le reflet de notre ignorance? Cette question conduit à une réflexion approfondie sur la nature humaine et l’origine de nos fautes.

sujet dissertation philosophie sur la verite

Eduquer l’individu, est-ce porter atteinte à sa liberté ?

La question de l’éducation, et son supposé conflit avec la liberté individuelle, a toujours suscité un intense débat philosophique. Le sujet revient à s’interroger si éduquer, c’est inévitablement brider l’autonomie de l’individu.

sujet dissertation philosophie sur la verite

Est-ce à la loi de décider de mon bonheur ?

L’interrogation « Est-ce à la loi de décider de mon bonheur ? » soulève des questions complexes liées à la liberté individuelle, au rôle des institutions et à la définition même du bonheur. Cette dissertation se propose d’analyser ces aspects de manière critique.

Les annales de philosophie bac 2024, sujets corrigés le jour J. bac général, bac technologique, métropole, DOM-TOM, à l'étranger

Sujets de l'épreuve de philosophie 2024, asie pacifique, bacs général et technologique., les annales du bac de philosophie asie pacifique, bacs général et technologique 2024, sujets du bac général 2024.

Filière du bac : Voie générale Epreuve : Philosophie Niveau d'études : Terminale Session : Normale Centre d'examen : Asie pacifique Date de l'épreuve :  juin 2024 Durée de l'épreuve : 4 heures

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Dissertation 1 : Dissertation 2 : Explication de texte :

Consultez les sujets en ligne du bac 2023

Dissertation 1 : Est-il raisonnable de lutter contre le temps ? Dissertation 2 : Le langage peut-il être fidèle à la réalité? Explication de texte :

Expliquer le texte suivant :

Je ne puis accepter les formes de subordination oü Iintelligence, lingéniosité. la volonté, la conscience professionnelle n'ont à intervenir que dans l'élaboration des ordres par le chef, et où l'exécution exige seulement une soumission passive dans laquelle ni l'esprit ni le caeur n'ont part : de sorte que le subordonné joue presque le rôle d'une chose manée par Tintelligence d'autrui Telle était ma situation comme ouvrière. Au contraire quand les ordres contèrent une responsabilité à celui qui les exécute, exigent de sa part les vertus de courage. de volonté. de conscience et d'intelligence qui définissent la valeur humaine, impliquent une certaine confiance mutuelle entre le chef et le subordonné. et ne comportent que dans une faible mesure un pouvoir arbitraire entre les mains du chet, la subordination est une chose belle et honorable. Soit dit en passant. j'aurais été reconnaissante à un chef qui aurait bien voulu m'assigner un jour quelque táche, méme pénible, malpropre, dangereuse et mal rétribuée, mais qui aurait impliqué de sa part une certaine confiance en moi ; et j'aurais obéi, ce jour-là, de tout mon coeur. Et je suis süre que beaucoup d'ouvriers

 Simone Weil, La Condition ouvrière, 1951

  • Vous pouvez aussi consulter les sujets et les corrigés du bac général 2022 Asie pacifique
  • Consultez les sujets en ligne
  •   Dissertation 1 :
  • L'homme est-il une exception dans la nature ?
  • Dissertation 2 :
  • Toute prise de conscience est-elle libératrice ?
  • Explication de texte :
  • Il s'agit d'un extrait de Tocqueville, De la Démocratie en Amérique (1840).
  • Ce texte évoque les thématiques philosophiques de la justice et de l'Etat.
  • Vous pouvez aussi consulter les sujets et les corrigés du bac général 2021 Asie pacifique
  • Philosophie -  Bac G
  • Dissertation 1 :
  • Existe-t-il des techniques pour être heureux ?
  • Les résultats des sciences sont-ils indiscutables ?
  • Dissertation 3 :
  • Le droit peut-il être injuste ?
  • Il s'agit d'un extrait de Hegel, Propédeutique philosophique, 1809-1811. Ce texte évoque les notions philosophiques de la conscience et de la raison.
  • Vous pouvez aussi consulter les sujets et les corrigés du bac général 2021 de métropole
  • Le candidat traite, au choix, un des quatre sujets proposés.
  • Sujet 1: Discuter, est-ce renoncer à la violence ?
  • Sujet 2: L’inconscient échappe-t-il à toute forme de connaissance?
  • Sujet 3: Sommes-nous responsables de l’avenir ?
  • Sujet 4: Explication de texte autour d'un extrait de l'ouvrage De la Division du travail social, d'Emile Durkheim
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Sujets du bac technologique 2024

Filière du bac : Voie technologique Epreuve : Philosophie Niveau d'études : Terminale Session : Normale Centre d'examen : Asie pacifique Date de l'épreuve :  juin 2024 Durée de l'épreuve : 4 heures

 Dissertation 1 :

  • Vous pouvez aussi consulter les sujets et les corrigés du bac technologique 2022 Asie pacifique
  • Pourrions-nous nous passer des machines ?
  • La vérité doit-elle être partagée ?
  • Il s'agit de Rousseau, Du Contrat Social (1762).
  • Ce texte évoque les notions philosophiques de liberté et des lois.
  • Si le candidat choisi de suivre le développement proposé par le sujet, il devra alors répondre à des questions d'analyse et de synthèse.
  • - L'existence d'inégalités peut-elle être une menace pour la liberté ?
  • - Peut-on dire qu'il suffit à la loi de régler les abus pour être juste ?
  • Vous pouvez aussi consulter les sujets et les corrigés du bac technologique 2021 Asie pacifique
  • Philosophie -  Bac T 
  • Sommes-nous maîtres du progrès technique ?
  • Demander justice, est-ce réclamer vengeance ?
  • L'art nous rapproche-t-il de la nature ?
  • Il s'agit d'un extrait de Russell, Essais sceptiques (1928). Ce texte évoque les notions philosophiques des connaissances scientifique, de la vérité et de la technique.
  • Vous pouvez aussi consulter les sujets et les corrigés du bac technologique 2021 métropole
  • Sujet 1: Est-il toujours injuste de désobéir aux lois?
  • Sujet 2: Savoir, est-ce ne rien croire?
  • Sujet 3: La technique nous libère-t-elle de la nature?
  • Sujet 4: Explication de texte autour d'un extrait de l'ouvrage Le poète et l'activité de la fantaisie, de Sigmund Freud
  • Voie technologique
  • Sujet 1 métropole techno
  • Sujet 2 métropole techno
  • Sujet 3 métropole techno

Bac Général 2024 philosophie métropole, sujets corrigés en ligne dès la sortie de l'épreuve

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Date de dernière mise à jour : 28/04/2024

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  15. PDF LA VERITE

    THOMAS d'AQUIN, Sur la vérité ; Somme théologique (I, q. 16, a, 3). WITTGENSTEIN, Tractatus logico-philosophicus; De la certitude. Autres références philosophiques et quelques commentaires : ALQUIE, Nature et vérité dans la philosophie de Spinoza. AUSTIN, La vérité. BALIBAR (Etienne), Lieux et noms de la vérité.

  16. Dissertation : "Faut-il préférer le bonheur à la vérité

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    La vérité - le corrigé. La vérité fait partie des notions à connaître pour réussir l'épreuve de philosophie au Bac L. Après vous être entraîné sur l'exercice proposé, vérifiez vos réponses...

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    Approcher la question « Ce qui est subjectif est-il nécessairement faux ? » veut nous amener à réfléchir à la corrélation entre subjectivité et fiabilité de la vérité. Cette dissertation analysera cette problématique stimulante depuis diverses perspectives philosophiques. Lire la suite. Dissertations. La conscience. La vérité.

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